Les impacts à long terme de l'insomnie

Les troubles du sommeil ou la maladie mentale ?

Les patients souffrant d’insomnie ont recours aux services de santé plus souvent que le bon dormeur. La santé physique pouvant être affectée par ls perturbateurs de l’horaire du sommeil.

Au premier plan viennent les perturbations dans le métabolisme des sucres et des graisses et dans le contrôle de la satiété. L’expression « Qui  dort dine «  n’aura jamais été si pertinente puisque la communauté scientifique   s’affaire à exploser les liens entre sommeil alimentation et excès de poids.

Ainsi une restriction de sommeil de quelques heures, par jour peut affecter le métabolisme des sucres et créer un état comparable, à un patient en phase prédiabétique.

Après une mauvaise nuit de sommeil, les taux de sucre, dans le sang sont plus élevés en réponse à un apport alimentaire riche en sucres qu’après une bonne nuit.

Cette situation indique que le corps a développé une résistance passagère à l’effet de l’insuline après avoir manqué de sommeil pendant quelques heures.

Les perturbations du sommeil peuvent aussi être associées à un moins bon contrôle de la pression artérielle chez des patients hypertendus. La pression artérielle varie au cours de la journée et chute de 10% à 20 % au cours du sommeil chez les personnes en bonne santé. Les patients hypertendus ont souvent une variation anormale de ce rythme. Un problème que les perturbations du sommeil peuvent exacerber.  

 Les impacts à long terme de l’insomnie.

Il est maintenant clair que l’insomnie persistante est associée à un risque accru d’être atteint de nombreux problèmes de santé. En particulier, des troubles de santé mentale. Dans 40 % des cas l’insomnie précédé de plusieurs années l’apparition d’une dépression majeure, mais la relation, entre l’insomnie et la santé mentale est généralement bidirectionnelle. En effet, les perturbations du sommeil augmentent les risques de développer un trouble de santé mentale, et les maladies mentales sont la plupart liées à des troubles du sommeil.  Les troubles du sommeil ainsi associées à des maladies psychiatriques sont souvent graves et résistent au traitement ce qui complique la prise en charge, du malade. Comme pour l’œuf et la poule qu’est ce qui apparait en premier :

Les troubles du sommeil ou la maladie mentale ?

Les patients souffrant d’insomnie ont recours aux services de santé plus souvent que le bon dormeur. La santé physique pouvant être affectée par ls perturbateurs de l’horaire du sommeil.

Au premier plan viennent les perturbations dans le métabolisme des sucres et des graisses et dans le contrôle de la satiété. L’expression « Qui  dort dine «  n’aura jamais été si pertinente puisque la communauté scientifique   s’affaire à exploser les liens entre sommeil alimentation et excès de poids.

Ainsi une restriction de sommeil de quelques heures, par jour peut affecter le métabolisme des sucres et créer un état comparable, à un patient en phase prédiabétique.

Après une mauvaise nuit de sommeil, les taux de sucre, dans le sang sont plus élevés en réponse à un apport alimentaire riche en sucres qu’après une bonne nuit.

Cette situation indique que le corps a développé une résistance passagère à l’effet de l’insuline après avoir manqué de sommeil pendant quelques heures.

Les perturbations du sommeil peuvent aussi être associées à un moins bon contrôle de la pression artérielle chez des patients hypertendus. La pression artérielle varie au cours de la journée et chute de 10% à 20 % au cours du sommeil chez les personnes en bonne santé. Les patients hypertendus ont souvent une variation anormale de ce rythme. Un problème que les perturbations du sommeil peuvent exacerber.  

 

Il est important quand on souffre d’insomnie de mettre en place dans notre vie une bonne hygiène de sommeil. Il est d’ailleurs utile dans tout trouble du sommeil de réviser, les comportements entourant les heures du coucher et du lever.

En phase de sommeil paradoxal, le cerveau est presque aussi actif qu’en phase d’éveil, mais les régions plus actives diffèrent de celles qui sont actives à l’éveil.

Le sommeil correspond à un état de conversation d’Energie. La température corporelle et le métabolisme chutent au cours du sommeil.

Le sentiment de faim diminue au cours de la nuit et le métabolisme des sucres et des gras ralentit.

La privation de sommeil même de quelques heures par nuit perturbe l’appétit et le métabolisme.

Cette situation peut ainsi contribuer au gain de poids.

 

0
Feed

Laisser un commentaire